vendredi, novembre 12, 2010

Sheep ! !

Je ne veux pas vous laisser sans avoir admiré cette VIDEO ! ! !


C'est stupéfiant, magnifique, étonnant et magique ! ! !


Rien à ajouter...No comment...

samedi, octobre 30, 2010

Le petit figuier...suite


Depuis un bon nombre d'années maintenant, je parle de mon petit figuier..Certes il est moins petit ou si vous préférez, il grandit. en âge, en sagesse, puisqu'il nous donne ombre et fraîcheur l'été et que cela peut me rappeler... un peu, le figuier de Suffren et son cortège de souvenirs.

Le petit figuier a revêtu sa robe d'automne.. dorée mais plutôt d'or jaune.. cela s'est passé d'un seul coup.. il va maintenant se changer, et ne nous montrer que ses branches nues et grises, qui peut-être supporteront un peu de neige cette année .

Pour le moment, la vigne vierge tout à côté, rougit de plaisir en le voyant..



C'est mon compagnon de route. Venu pour mon plaisir et un petit bonheur, dont j'ai reconnaissance à l'expéditeur qui s'est souvenu que je voulais tellement un figuier dans une cour...

Voyez comme il a bien changé !

jeudi, septembre 02, 2010

Tour de France

Le Tour est fini... il y eut un gagnant, le premier arrivé. Et avec lui tous ceux qui les années passées ont tenu le haut du podium . Je pense à Laurent Fignon, ce grand sportif, cette personalité si jeune, si sympathique, deux fois vainqueur et qui vient de mourir à cinquante ans, c'est à dire à la fleur de l'âge. Je partage avec tous ceux qui étaient proches de lui, sa famille, ses amis, ses supporters enfin tous sans en oublier un seul, je partage la peine et le chagrin qui sont les mots que nous prononçons dans de telles circonstances, du fond du cœur.

Alors me vient à l'idée, de lui offrir, avec un sourire, ce petit texte que j'avais écrit il y a quelques années et que mon arrêt récent à la station de l'autoroute, "Les Pyrénées" sur le trajet Toulouse Bayonne m'a remis en mémoire.

"Ange, tout de jaune vêtu, se tenait en équilibre sur son vélo, conçu spécialement pour lui par le plus grand des fabricant de cycles de course. Sa machine calée invisiblement, les pieds dans les étriers, il tenait ses bras levés au-dessus de sa tête en un "V" trop connu pour être ignoré.
Ses petites lunettes lui taraudait le visage et son casque qui, comme tous ses congénères le faisait ressembler immanquablement à un hanneton, entretenait sur ses cheveux, rares, mais blonds une douce chaleur et une humidité dont il pensait à raison qu'elle serait fatale à l'ordonnancement de sa coiffure dès qu'il l'enlèverait.
Il avait passé, en croix, autour de son torse – sorte de mémoire aux anciens - , deux chambres à air, courroies noires qui se détachaient avec précision sur le maillot canari du vainqueur.

La vacuité de ces longues minutes passées devant le créateur de la future image, lui laissait loisir de penser et de repenser encore. Il faisait lentement mais scrupuleusement la synthèse du dernier tour, et, devant tant d'efforts accumulés, ses bras qui fourmillaient, se rabattaient brusquement le long de la poitrine. Rappelé à l'ordre, il reprenait la pose et de nouveau laissait son esprit vagabonder. Se posant à lui même de nombreuses questions au sujet de tout et de rien, questions qui restaient d'ailleurs souvent sans réponses, il se demandait si l'objectif serait atteint et dans combien de temps.

L'admirable œuvre d'art à laquelle il contribuait en champion, mais avec beaucoup d'autres coureurs, devait orner un site choisi en bordure d'une autoroute et devant la chaîne des Pyrénées toute proche. Telle une video nature, il faisait défiler les kilomètres et les cols redoutables, témoins de crampes douloureuses qu'il ressentait encore sur le podium en teck de Birmanie, à l'arrivée de l'étape et ce malgré les fleurs et le sourire de la demoiselle locale qui l'embrassait après qu'il eût enfilé le maillot jaune.

Un accident l'avait empêché d'assister à l'inauguration du monument et loin du lieu il avait lu les journaux locaux, avec détachement mais conscient de sa victoire. Quelques temps après, allant sur la côte atlantique du côté de Biarritz pour une compétition de golf – oui il avait changé son fusil d'épaule ou si vous préférez, son pédalier contre un club – il s'arrêta à la station "Les Pyrénées" et put, entre le plein et un café, admirer enfin cette œuvre d'art qui voulait montrer à tous les passants, les géants du Tour de France.

Il comprit alors à cet instant précis, que c'était sa dernière course qui défilait là, devant ses yeux embués, avec les ondulations du parcours, ses co-équipiers, et lui-même, devant, caché légèrement par les arbres aux feuilles naissantes, tout en jaune et tournant résolument le dos aux Pyrénées enneigées dont il n'aurait plus jamais à souffrir en silence les cols diaboliques."


dimanche, août 08, 2010

Cent plus un...

Aujourd'hui, 8 août 2010 nous fêtons en famille (enfin, dispersée mais unie par la pensée) l'anniversaire de Nicole Cornuault, née Briès, sœur aînée de mon époux.



L'année dernière le petit village des Portes en Ré lui avait préparé une magnifique fête pour son siècle et à notre tour, nous venons rajouter une bougie à cette merveilleuse vie pourant heurtée maintes fois, mais que son caractère si bien trempé à mené à bien jusqu'ici.

Nicole pour vous, tous les baisers de tout le monde, toutes nos pensées, toute notre affection. Gardez vous ainsi pour notre bonheur.

samedi, août 07, 2010

Parfum d'été

Ce matin, me promenant autour de la maison, cherchant la figue... arrosant les feuillages des "monstera, des fougères, des bégonias, sous la vérandah, je suis passée devant le petit laurier rose, celui que j'ai fait déplacer sur l'angle du petit escalier et tout à coup, envahie de ce parfum que je connais si bien, je me suis vue à Suffren, sous les lauriers de la Villa Sergent, près du "Banc des aveux" - tout un programme qui avait bien des fois servi - Ce parfum me poursuivait c'était divin. Plonger dans le passé et Dieu seul sait combien j'aime plonger à tous les sens du verbe.

Je me sentais envahie d'un bien-être fabuleux qui me faisait tout oubier des ennuis et contrariétés qui peuvent arriver.

Internet nous apporte, les textes, les images, les sons..mais il ne nous apporte pas les parfums, les senteurs et leur cortège. Peut-être est-ce mieux ainsi, de pouvoir préserver cette intimité unique, de même que le goût - de la figue par exemple - ou simplement les choses que nous voulons garder secrètement pour nous ? A moins que se tende une main et qu'lle soit celle avec laquelle on a pu partager un tel moment de bonheur.

vendredi, août 06, 2010

Ainsi va l'été...

Le mois d'août est là avec son cortège d'un peu de chaud et surtout beaucoup de mistral qui vient atténuer le chaud qui, normalement, devrait nous clouer sur une chaise longue à l'ombre... du figuier. Heureusement il y a toujours notre vagabondage sur le Web et le rapprochement des amis.. vous savez ? les amis rencontrés plutôt tardivement mais devenus des amis plus que sûrs et si gentils.. j'en ai au moins trois : Denise, Tayeb et Christos qui en plus de mon ami peut se prévaloir du nom de "cousin".. il est Zygomalas.. il a trois filles ravissantes.. je vous laisse admirer Perséphone et Artémis...


Malgré tout, on critique FaceBook mais c'est quand même un artifice magnifique pour se retrouver brusquement dans un milieu que l'on n'aurait pu imaginer il y a seulement dix ans ! et encore..

Christos est musicien, sculpteur et maintenant il peint et ses images sont superbes :
Et puis je ne peux pas non plus ne pas parler de mon ami, grand ami, Tayeb.. Tayeb connaît l'Algérie autant que moi et plus encore, il connaît le Djurdjura dans lequel nous avons tellement patouillé et visité les moindres recoins, Lui, c'est "son pays" il y est né ! moi aussi d'ailleurs et c'est pourquoi nous pouvons partager le Djurdjura.. Chez lui il y a des figuiers, et vous savez combien le figuier, depuis Alger jusqu'à Chios, joue un rôle important dans ma vie.. Et les figuiers de Tayeb donnent des figues les meilleures du monde !



C'est cette FIGUE, dont je me souviens qu'elle se situait tout en haut du figuier de la cour, à Suffren et dans lequel, avec un tablier (pour ne pas me salir), quand j'avais sept ou huit ans - j'ai oublié - , je grimpais de branche en branche pour aller chercher "la figue", celle d'en haut, la meilleure, sans que personne ne me dérange. Et Tayeb de me dire à ce sujet :

"Justement, je me demande pouquoi le figuier porte ses meilleures figues le plus haut ? Est-il conscient de quelque chose comme "plus dure l'épreuve...?"

Décidémment le figuier n'a pas fini d'être sujet de discussions et de palabres...






mardi, juin 22, 2010

L'apothéose d'un vilain bouton.

Dans ma serre, à la Grange du Tambour, près d'Avignon, il y a des cactus. Ou si vous préférez, des succulentes.. Le mot est savant mais il me plait.

C'est l'époque de la floraison des cactus.. et ce matin en faisant le tour de la maison je me suis arrêtée dans la serre, et vu la fleur.. La fleur.. les fleurs du cactus, ouvertes et roses, offrant à ma vue, une image certes que je connais mais qui m'éblouit toujours et m'éblouira toujours encore..




dimanche, février 21, 2010

Le temps passe trop vite

Nous n'avons plus assez de temps pour faire tout ce que nous voulons.. il faut choisir. Et le choix est vaste. Mais pour les "mordus" d'ordinateurs, Mac ou autres mais plutôt Mac.. nous avons toujours - et le mot est faible- à faire. Et c'est là justement que nous sommes priviligiés. Quel bonheur de pouoir chaque matin, lire son courrier, y répondre, parfois faire une page de son journal, parfois faire des comptes - beuh - et parfois jacasser avec l'amie surgie d'on ne sait où sur Skype et en plus on la voit ! On sait tout de suite si elle va bien, si on l'ennuie si on lui fait plaisir.. un vrai bonheur.. et on peut toujours lui raccrocher au nez.

Vous dire aussi qu'avec les fanatiques de Face Book, il y a fort à faire. J'avoue laisser un peu de côté. Mais c'est sympathique je le reconnais.

Nous avons eu très très froid cette année, ce fut un véritable hiver, et comme je parle souvent de mon petit figuier, je vous laisse admirer le spectacle que j'ai eu un matin en ouvrant ma fenêtre.. le petit figuier ! oui mais couvert de neige au lieu de figues.. ça change


Et pour vous donner une vue d'ensemble de notre pelouse si verte l'été... la voici en février !

lundi, janvier 04, 2010

Année Nouvelle M M X

Inexorablement, elle est arrivée.. avec son cortège de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Pensons aussi à ceux, qui n'ont pas de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Le souhait que je formule... Ecoutez moi, j'ai fait ceci pour vous tous, ceux que j'aime et qui m'aiment.