vendredi, juin 13, 2008

Oui.... il passe... le temps !

cliquer sur l'image pour le voir en GRAND!!!

Depuis l'année dernière, Monsieur le Petit Figuier a pris de l'ampleur. J'en suis toute étonnée et ravie. Il est maintenant un arbre complet. Son tronc s'est épaissi, ses feuilles sont plus nombreuses, et il a grandi. Il est ravi, il a ses pieds dans le puit ou presque. Ainsi, j'avais rêvé d'une maison avec un figuier au milieu d'une cour, un peu comme à Suffren au fond mais je m'étais contentée dans les premiers temps de notre installation dans le Midi, de ce tilleul imposant et presque centenaire. En cliquant sur "Suffren" vous verrez le figuier, une aquarelle de Gabriel Darbéda, mon grand-père.
Il était d'ailleurs fort beau et j'eus une grande peine lorsqu'il refusa de sortir ses nouvelles feuilles un printemps et qu'il fallut le faire disparaître. Je n'étais pas encore consciente de ce qui allait se passer dans les quatre années qui suivirent. Oui je vous ai déjà raconté qu'il y avait un tout petit figuier au pied du tilleul avec trois feuilles et tout malingre. On lui laissa la vie sauve. et et et... vous pouvez voir au cours des années combien il s'appliquait à devenir un bel arbre. Cette année je lui rends hommage. C'est Le Figuier de la Cour. Non son tronc n'est pas encore celui de son confrère de Suffren, mais ... il en prend le chemin et qui sait...si Dieu lui prête vie il deviendra comme lui. Et puis maintenant, je peux, allongée dans le transat vert pomme, rêver : à l'Ombre du Figuier


lundi, mars 17, 2008

Le temps qui passe


Le temps qui passe vient sans arrêt vous prévenir qu'il faut vivre intensément les moments qui se déroulent, les jours qui filent, les heures qui s'estompent, les minutes qui foncent et les secondes qui ne vous laissent aucun répit. Ainsi je n'ai rien écrit depuis janvier, sur ces pages qui pourtant pourraient refléter mes états d'âme ou mes découvertes ou que sais-je encore. Mais je n'y tiens plus, car c'est un événement trop important qui est venu rompre le temps qui passe pour me faire prendre encore davantage conscience qu'il faut continuer son chemin, tracé ou non mais il faut continuer. Et pourtant je suis si peinée que je devrais m'effondrer de chagrin et pleurer à en mourir.
Hercule. Hercule, a rejoint Cécile pour toujours, il l'a retrouvée et ensemble ils font mille et une balades dans les chemins d'amour que nous leur avons tracé auparavant. Il est parti sans bruit, tout doucement en s'endormant et je l'espère sans souffrir, petit animal animé d'une âme et d'un regard intense qui aurait voulu me dire quelque chose. Petit animal affectueux et oh combien attaché et à qui nous avons donné une vie de chien la plus belle possible. Courir dans les bois, jouer, dormir au chaud ou au soleil dans la cour, bien manger et boire l'eau frâiche du puit, c'était tout un programme de bonheur. Je souhaite qu'il en ait profité pleinement, hélas, sans Cécile mais je reste persuadée qu'il est maintenant avec elle pour leur bonheur à eux seuls.

samedi, janvier 05, 2008

Le début de l'autre

Déjà entamée de quatre jours, 2008 est bien là. Alors : sacrifions aux us et coutumes et...

Pour tous mes amis, tous ceux qui viendront me rendre visite et je remercie d'avance ceux qui laisseront un message ou un commentaire. 
Et nous repartons pour un grand tour !