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Il était d'ailleurs fort beau et j'eus une grande peine lorsqu'il refusa de sortir ses nouvelles feuilles un printemps et qu'il fallut le faire disparaître. Je n'étais pas encore consciente de ce qui allait se passer dans les quatre années qui suivirent. Oui je vous ai déjà raconté qu'il y avait un tout petit figuier au pied du tilleul avec trois feuilles et tout malingre. On lui laissa la vie sauve. et et et... vous pouvez voir au cours des années combien il s'appliquait à devenir un bel arbre. Cette année je lui rends hommage. C'est Le Figuier de la Cour. Non son tronc n'est pas encore celui de son confrère de Suffren, mais ... il en prend le chemin et qui sait...si Dieu lui prête vie il deviendra comme lui. Et puis maintenant, je peux, allongée dans le transat vert pomme, rêver : à l'Ombre du Figuier
Il est magnifique. Tu as eu droit à un rayon de soleil, je vois ;-))).
RépondreSupprimerNous viendrons vous rendre visite et lui par la même occasion en ce prochain dimanche de Juin.
Mille baisers de la Lanterne.
mmmm... ça donne envie d'y revenir!
RépondreSupprimerGros becs de Suisse
Olivier
Un grand merci à ceux qui viennent visiter mes pages et qui laissent à ma satisfaction de quoi se nourrir. L'amitié est une chose précieuse et celle d'Olivier me touche toujours. L'amour de mi hija, toujours présente vient réconforter mes instants de désarroi, car il y en a bien sûr.
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