samedi, octobre 30, 2010

Le petit figuier...suite


Depuis un bon nombre d'années maintenant, je parle de mon petit figuier..Certes il est moins petit ou si vous préférez, il grandit. en âge, en sagesse, puisqu'il nous donne ombre et fraîcheur l'été et que cela peut me rappeler... un peu, le figuier de Suffren et son cortège de souvenirs.

Le petit figuier a revêtu sa robe d'automne.. dorée mais plutôt d'or jaune.. cela s'est passé d'un seul coup.. il va maintenant se changer, et ne nous montrer que ses branches nues et grises, qui peut-être supporteront un peu de neige cette année .

Pour le moment, la vigne vierge tout à côté, rougit de plaisir en le voyant..



C'est mon compagnon de route. Venu pour mon plaisir et un petit bonheur, dont j'ai reconnaissance à l'expéditeur qui s'est souvenu que je voulais tellement un figuier dans une cour...

Voyez comme il a bien changé !

jeudi, septembre 02, 2010

Tour de France

Le Tour est fini... il y eut un gagnant, le premier arrivé. Et avec lui tous ceux qui les années passées ont tenu le haut du podium . Je pense à Laurent Fignon, ce grand sportif, cette personalité si jeune, si sympathique, deux fois vainqueur et qui vient de mourir à cinquante ans, c'est à dire à la fleur de l'âge. Je partage avec tous ceux qui étaient proches de lui, sa famille, ses amis, ses supporters enfin tous sans en oublier un seul, je partage la peine et le chagrin qui sont les mots que nous prononçons dans de telles circonstances, du fond du cœur.

Alors me vient à l'idée, de lui offrir, avec un sourire, ce petit texte que j'avais écrit il y a quelques années et que mon arrêt récent à la station de l'autoroute, "Les Pyrénées" sur le trajet Toulouse Bayonne m'a remis en mémoire.

"Ange, tout de jaune vêtu, se tenait en équilibre sur son vélo, conçu spécialement pour lui par le plus grand des fabricant de cycles de course. Sa machine calée invisiblement, les pieds dans les étriers, il tenait ses bras levés au-dessus de sa tête en un "V" trop connu pour être ignoré.
Ses petites lunettes lui taraudait le visage et son casque qui, comme tous ses congénères le faisait ressembler immanquablement à un hanneton, entretenait sur ses cheveux, rares, mais blonds une douce chaleur et une humidité dont il pensait à raison qu'elle serait fatale à l'ordonnancement de sa coiffure dès qu'il l'enlèverait.
Il avait passé, en croix, autour de son torse – sorte de mémoire aux anciens - , deux chambres à air, courroies noires qui se détachaient avec précision sur le maillot canari du vainqueur.

La vacuité de ces longues minutes passées devant le créateur de la future image, lui laissait loisir de penser et de repenser encore. Il faisait lentement mais scrupuleusement la synthèse du dernier tour, et, devant tant d'efforts accumulés, ses bras qui fourmillaient, se rabattaient brusquement le long de la poitrine. Rappelé à l'ordre, il reprenait la pose et de nouveau laissait son esprit vagabonder. Se posant à lui même de nombreuses questions au sujet de tout et de rien, questions qui restaient d'ailleurs souvent sans réponses, il se demandait si l'objectif serait atteint et dans combien de temps.

L'admirable œuvre d'art à laquelle il contribuait en champion, mais avec beaucoup d'autres coureurs, devait orner un site choisi en bordure d'une autoroute et devant la chaîne des Pyrénées toute proche. Telle une video nature, il faisait défiler les kilomètres et les cols redoutables, témoins de crampes douloureuses qu'il ressentait encore sur le podium en teck de Birmanie, à l'arrivée de l'étape et ce malgré les fleurs et le sourire de la demoiselle locale qui l'embrassait après qu'il eût enfilé le maillot jaune.

Un accident l'avait empêché d'assister à l'inauguration du monument et loin du lieu il avait lu les journaux locaux, avec détachement mais conscient de sa victoire. Quelques temps après, allant sur la côte atlantique du côté de Biarritz pour une compétition de golf – oui il avait changé son fusil d'épaule ou si vous préférez, son pédalier contre un club – il s'arrêta à la station "Les Pyrénées" et put, entre le plein et un café, admirer enfin cette œuvre d'art qui voulait montrer à tous les passants, les géants du Tour de France.

Il comprit alors à cet instant précis, que c'était sa dernière course qui défilait là, devant ses yeux embués, avec les ondulations du parcours, ses co-équipiers, et lui-même, devant, caché légèrement par les arbres aux feuilles naissantes, tout en jaune et tournant résolument le dos aux Pyrénées enneigées dont il n'aurait plus jamais à souffrir en silence les cols diaboliques."


dimanche, août 08, 2010

Cent plus un...

Aujourd'hui, 8 août 2010 nous fêtons en famille (enfin, dispersée mais unie par la pensée) l'anniversaire de Nicole Cornuault, née Briès, sœur aînée de mon époux.



L'année dernière le petit village des Portes en Ré lui avait préparé une magnifique fête pour son siècle et à notre tour, nous venons rajouter une bougie à cette merveilleuse vie pourant heurtée maintes fois, mais que son caractère si bien trempé à mené à bien jusqu'ici.

Nicole pour vous, tous les baisers de tout le monde, toutes nos pensées, toute notre affection. Gardez vous ainsi pour notre bonheur.

samedi, août 07, 2010

Parfum d'été

Ce matin, me promenant autour de la maison, cherchant la figue... arrosant les feuillages des "monstera, des fougères, des bégonias, sous la vérandah, je suis passée devant le petit laurier rose, celui que j'ai fait déplacer sur l'angle du petit escalier et tout à coup, envahie de ce parfum que je connais si bien, je me suis vue à Suffren, sous les lauriers de la Villa Sergent, près du "Banc des aveux" - tout un programme qui avait bien des fois servi - Ce parfum me poursuivait c'était divin. Plonger dans le passé et Dieu seul sait combien j'aime plonger à tous les sens du verbe.

Je me sentais envahie d'un bien-être fabuleux qui me faisait tout oubier des ennuis et contrariétés qui peuvent arriver.

Internet nous apporte, les textes, les images, les sons..mais il ne nous apporte pas les parfums, les senteurs et leur cortège. Peut-être est-ce mieux ainsi, de pouvoir préserver cette intimité unique, de même que le goût - de la figue par exemple - ou simplement les choses que nous voulons garder secrètement pour nous ? A moins que se tende une main et qu'lle soit celle avec laquelle on a pu partager un tel moment de bonheur.

vendredi, août 06, 2010

Ainsi va l'été...

Le mois d'août est là avec son cortège d'un peu de chaud et surtout beaucoup de mistral qui vient atténuer le chaud qui, normalement, devrait nous clouer sur une chaise longue à l'ombre... du figuier. Heureusement il y a toujours notre vagabondage sur le Web et le rapprochement des amis.. vous savez ? les amis rencontrés plutôt tardivement mais devenus des amis plus que sûrs et si gentils.. j'en ai au moins trois : Denise, Tayeb et Christos qui en plus de mon ami peut se prévaloir du nom de "cousin".. il est Zygomalas.. il a trois filles ravissantes.. je vous laisse admirer Perséphone et Artémis...


Malgré tout, on critique FaceBook mais c'est quand même un artifice magnifique pour se retrouver brusquement dans un milieu que l'on n'aurait pu imaginer il y a seulement dix ans ! et encore..

Christos est musicien, sculpteur et maintenant il peint et ses images sont superbes :
Et puis je ne peux pas non plus ne pas parler de mon ami, grand ami, Tayeb.. Tayeb connaît l'Algérie autant que moi et plus encore, il connaît le Djurdjura dans lequel nous avons tellement patouillé et visité les moindres recoins, Lui, c'est "son pays" il y est né ! moi aussi d'ailleurs et c'est pourquoi nous pouvons partager le Djurdjura.. Chez lui il y a des figuiers, et vous savez combien le figuier, depuis Alger jusqu'à Chios, joue un rôle important dans ma vie.. Et les figuiers de Tayeb donnent des figues les meilleures du monde !



C'est cette FIGUE, dont je me souviens qu'elle se situait tout en haut du figuier de la cour, à Suffren et dans lequel, avec un tablier (pour ne pas me salir), quand j'avais sept ou huit ans - j'ai oublié - , je grimpais de branche en branche pour aller chercher "la figue", celle d'en haut, la meilleure, sans que personne ne me dérange. Et Tayeb de me dire à ce sujet :

"Justement, je me demande pouquoi le figuier porte ses meilleures figues le plus haut ? Est-il conscient de quelque chose comme "plus dure l'épreuve...?"

Décidémment le figuier n'a pas fini d'être sujet de discussions et de palabres...






mardi, juin 22, 2010

L'apothéose d'un vilain bouton.

Dans ma serre, à la Grange du Tambour, près d'Avignon, il y a des cactus. Ou si vous préférez, des succulentes.. Le mot est savant mais il me plait.

C'est l'époque de la floraison des cactus.. et ce matin en faisant le tour de la maison je me suis arrêtée dans la serre, et vu la fleur.. La fleur.. les fleurs du cactus, ouvertes et roses, offrant à ma vue, une image certes que je connais mais qui m'éblouit toujours et m'éblouira toujours encore..




dimanche, février 21, 2010

Le temps passe trop vite

Nous n'avons plus assez de temps pour faire tout ce que nous voulons.. il faut choisir. Et le choix est vaste. Mais pour les "mordus" d'ordinateurs, Mac ou autres mais plutôt Mac.. nous avons toujours - et le mot est faible- à faire. Et c'est là justement que nous sommes priviligiés. Quel bonheur de pouoir chaque matin, lire son courrier, y répondre, parfois faire une page de son journal, parfois faire des comptes - beuh - et parfois jacasser avec l'amie surgie d'on ne sait où sur Skype et en plus on la voit ! On sait tout de suite si elle va bien, si on l'ennuie si on lui fait plaisir.. un vrai bonheur.. et on peut toujours lui raccrocher au nez.

Vous dire aussi qu'avec les fanatiques de Face Book, il y a fort à faire. J'avoue laisser un peu de côté. Mais c'est sympathique je le reconnais.

Nous avons eu très très froid cette année, ce fut un véritable hiver, et comme je parle souvent de mon petit figuier, je vous laisse admirer le spectacle que j'ai eu un matin en ouvrant ma fenêtre.. le petit figuier ! oui mais couvert de neige au lieu de figues.. ça change


Et pour vous donner une vue d'ensemble de notre pelouse si verte l'été... la voici en février !

lundi, janvier 04, 2010

Année Nouvelle M M X

Inexorablement, elle est arrivée.. avec son cortège de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Pensons aussi à ceux, qui n'ont pas de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Le souhait que je formule... Ecoutez moi, j'ai fait ceci pour vous tous, ceux que j'aime et qui m'aiment.


samedi, avril 11, 2009

Addict ?

On peut très bien devenir accroché, mais on dit plutôt maintenant "addict" c'est tendance. Cela ne date pas d'hier. Tenez, il y a plus de 23 ans que je suis tombée dans un Mac.. et j'y suis toujours. Pas dans le même évidemment.
Mais on peut aussi être fan de musique, fan d'images.. photos dessins, se servir d'Adobe, se servir de pinceaux de crayons, de feutres, être béat devant un coucher de soleil dans le Sahara, devant une mer démontée..On peut aussi se plonger dans la généalogie et créer une gigantesque base de données dont on sort à grand peine.

C'est en fait ce que l'on appelle "la passion"..

Je vous avais parlé et montré il y a quelques temps ce que l'on peut faire avec de la musique et des mathématiques.. Allez voir le début de cette année. Vous vous apercevrez que, ma foi, c'est presque la même chose que ce que vous voyez là, maintenant. Et de vous dire in petto :" elle exagère elle nous réédite les mêmes choses".
Mais en fait, tout est différent. Tout. La musique, les couleurs, les sons, les courbes, les dessins.
N'essayez pas d'anticiper pour savoir quelle courbe viendra après celle que vous voyez non ! elle sera différente, elle vous transportera vers d'autres lieux d'autres cieux que ceux auxquels vous pensiez. Alors laissez vous aller jusqu'au bout. Reprenez votre souffle et remerciez l'auteur de cette nouvelle forme d'art que, pour le moment l'on ne peut nommer. Mais il faut malgré tout donner un nom à cette fractale puisque cela en est une : "Le bonheur de ma fille".

lundi, janvier 12, 2009

Bien commencer l'année

Suivre un exemple d'amour, de tendresse d'affection..
  • Regardez
  • Admirez
  • Fondez de douceur




    Et dites moi si vous avez aimé cette video ! C'est à la fois étrange, admirable et réconfortant.
  • mardi, janvier 06, 2009

    Nouvelle année

    Elles se suivent... l'une emboîte le pas sur l'autre... et ce, depuis la nuit des temps.
    Alors pour fêter cette année nouvelle laissez vous emporter par cette musique, par ces images. Tout vous transportera vers le point où vous voulez aller.. C'est magique.


    Alors je vous dis à tous Bonne Année Que mes souhaits vous parviennent jusqu'au fond du cœur.

    Vous avez dit ?

    Fractales ?

    vendredi, juin 13, 2008

    Oui.... il passe... le temps !

    cliquer sur l'image pour le voir en GRAND!!!

    Depuis l'année dernière, Monsieur le Petit Figuier a pris de l'ampleur. J'en suis toute étonnée et ravie. Il est maintenant un arbre complet. Son tronc s'est épaissi, ses feuilles sont plus nombreuses, et il a grandi. Il est ravi, il a ses pieds dans le puit ou presque. Ainsi, j'avais rêvé d'une maison avec un figuier au milieu d'une cour, un peu comme à Suffren au fond mais je m'étais contentée dans les premiers temps de notre installation dans le Midi, de ce tilleul imposant et presque centenaire. En cliquant sur "Suffren" vous verrez le figuier, une aquarelle de Gabriel Darbéda, mon grand-père.
    Il était d'ailleurs fort beau et j'eus une grande peine lorsqu'il refusa de sortir ses nouvelles feuilles un printemps et qu'il fallut le faire disparaître. Je n'étais pas encore consciente de ce qui allait se passer dans les quatre années qui suivirent. Oui je vous ai déjà raconté qu'il y avait un tout petit figuier au pied du tilleul avec trois feuilles et tout malingre. On lui laissa la vie sauve. et et et... vous pouvez voir au cours des années combien il s'appliquait à devenir un bel arbre. Cette année je lui rends hommage. C'est Le Figuier de la Cour. Non son tronc n'est pas encore celui de son confrère de Suffren, mais ... il en prend le chemin et qui sait...si Dieu lui prête vie il deviendra comme lui. Et puis maintenant, je peux, allongée dans le transat vert pomme, rêver : à l'Ombre du Figuier


    lundi, mars 17, 2008

    Le temps qui passe


    Le temps qui passe vient sans arrêt vous prévenir qu'il faut vivre intensément les moments qui se déroulent, les jours qui filent, les heures qui s'estompent, les minutes qui foncent et les secondes qui ne vous laissent aucun répit. Ainsi je n'ai rien écrit depuis janvier, sur ces pages qui pourtant pourraient refléter mes états d'âme ou mes découvertes ou que sais-je encore. Mais je n'y tiens plus, car c'est un événement trop important qui est venu rompre le temps qui passe pour me faire prendre encore davantage conscience qu'il faut continuer son chemin, tracé ou non mais il faut continuer. Et pourtant je suis si peinée que je devrais m'effondrer de chagrin et pleurer à en mourir.
    Hercule. Hercule, a rejoint Cécile pour toujours, il l'a retrouvée et ensemble ils font mille et une balades dans les chemins d'amour que nous leur avons tracé auparavant. Il est parti sans bruit, tout doucement en s'endormant et je l'espère sans souffrir, petit animal animé d'une âme et d'un regard intense qui aurait voulu me dire quelque chose. Petit animal affectueux et oh combien attaché et à qui nous avons donné une vie de chien la plus belle possible. Courir dans les bois, jouer, dormir au chaud ou au soleil dans la cour, bien manger et boire l'eau frâiche du puit, c'était tout un programme de bonheur. Je souhaite qu'il en ait profité pleinement, hélas, sans Cécile mais je reste persuadée qu'il est maintenant avec elle pour leur bonheur à eux seuls.

    samedi, janvier 05, 2008

    Le début de l'autre

    Déjà entamée de quatre jours, 2008 est bien là. Alors : sacrifions aux us et coutumes et...

    Pour tous mes amis, tous ceux qui viendront me rendre visite et je remercie d'avance ceux qui laisseront un message ou un commentaire. 
    Et nous repartons pour un grand tour ! 

    samedi, décembre 29, 2007

    La fin de l'année

    Il ne reste que deux jours... et nous aurons franchi encore une fois une année, trois cent soixante cinq jours ! qui paraissent énormes et qui ne sont que miettes de temps. Il nous faudra aborder une nouvelle voie. Et l'aborder avec le plus de confiance possible, ce qui parfois, est bien difficile.
    Pour ma part, 2007 fut dure. J'y ai laissé tant de noms, tant d'amis tant d'amies, qui ne sont plus là mais perdurent envers et contre tout, dans ma tête, dans mes pages, dans mon souvenir et c'est ainsi qu'ils ou elles vivent encore et pour longtemps. Mais si 2007 a vu disparaître de l'autre côté du chemin bien des noms aimés, elle a vu aussi se dessiner des amitiés des parentèles, des sourires et des rires et il ne faut en rien négliger ce côté de la chose. Il y a pour le réconfort de l'âme, la prière et le souvenir mais il y a aussi les "choses" tangibles, celles qui nous font réaliser la "vie", la continuité, le progrès, l'avancée dans le temps, dans les découvertes, toutes ces nouveautés, toutes ces technologies qui deviennent le quotidien, nous faisant peur parfois mais qui deviendront utiles et nécessaires sans que nous en réalisions la percée. Toutes ces merveilles sont entre nos mains...`

    Voila l'iPhone, tant attendu tant convoité, si beau si attractif et dont on devient "addict" comme il est maintenant coutume de dire... J'aime mon iPhone, comme j'aime mes Macs c'est ainsi et on n'y peut rien changer. La passion.
    Malgré lui, malgré tout, il reste au fond de l'âme une solitude laissée par ceux qui m'on quittée et avec lesquels j'avais des liens privilégiés. Je ne les oublie pas. Et pour me faire sourire, en plus de mon iPhone, il y a l'AMITIÉ, celle de l'au-delà des mers et des nuages, qui en un seul clic de souris vient cogner à votre cœur et vous rappeler que notre vie vaut ce qu'elle est et ce que nous en faisons.
    Ce message est particulièrement destiné à Denise VBD. Elle se reconnaîtra là.
    En attendant les douze coups de minuit le 31 je ronge mon frein et vous souhaite une.... bonne fin d'année.

    mercredi, novembre 21, 2007

    Est-ce possible ???

    Mais oui !
    Prenez la peine de regarder cette petite video et vous comprendrez rapidement pourquoi les Mac sont ce qu'ils sont....



    Comme vous pouvez bien le penser... Je suis Mac User ! C'est quand même super de voir le Grand Bill ainsi... Non ???

    mercredi, juin 20, 2007

    Ah les Femmes !!!

    et quelles femmes. Toutes plus jolies les unes que les autres, toutes plus malines les unes que les autres, toutes plus aguichantes les unes que les autres, toutes plus délicates, fines, yeux bleux, yeux marrons, nez aquilin, nez retroussé, toutes peuvent rivaliser et personne ne peut dire quelle est la plus belle !

    Petit figuier deviendra grand





    Le mois de mai de l'année dernière, je donnais à mon petit figuier une page pour lui tout seul ! et Dieu sait s'il en était fier.

    Et je me dois, cette année de venir vous présenter, Monsieur le Petit Figuier devenu déjà bien grand. C'est fou ce qu'un figuier peut grandir vite. Il faut dire qu'il a les pieds dans l'eau et que la douce chaleur du Midi ne font que l'inciter à bien nous protéger du soleil et nous donner de bonnes figues. On en a presque oublié le tilleul - pauvre arbre défunt - qui nous rendit tant de services pendant toutes ces années passées. Il avait été bien gentil, ce tilleul, car il avait permis à Monsieur le Petit Figuier de pousser à son pied, tranquillement sans s'en faire. Je crois au fond de moi-même qu'il préparait sa retraite définitive en nous mettant un remplaçant à portée.
    Le voici et jugez vous même combien il est devenu beau et fier. Son ombre devient de plus en plus ample et notre grande Tapioca - beauceronne - peut dormir tranquille sous les feuilles. Prenez le temps de vous reporter au mois de Mai 2006, dans ce blog et vous le verrez encore tout petit !

    dimanche, juin 03, 2007

    La fête des Mères



    Cela pourrait être une vraie fête. Etre entourée de ses enfants, de toute sa famille, avec des sourires, des rires et des fleurs. Mais cela n'était pas aujourd'hui.
    C'était heureusement une belle journée, entourée de l'auteur de mes enfants et du seul enfant qui me témoigne l'affection qui me manque tellement des autres. L'une étant partie pour toujours et trop tôt et l'autre murée dans ses problèmes psychologiques dus probablement à cette incompatibilité d'existence parallèle qui semble être de mise en notre temps. Il y a quelques lustres, on aimait sans problèmes majeurs, à moins d'un événement grave et entourer sa maman était le principal objet du jour de la Fête des Mères.

    Ne pas verser de larmes inutiles et ne pas avoir le cœur gros.

    Plutôt penser à ceux qui vous aiment vraiment ou vous ont aimé vraiment, penser à Ma Mère partie trop jeune; et maintenant je déplore de n'avoir pas eu encore le temps de l'aimer davantage.

    dimanche, mai 27, 2007

    Le souvenir



    Un souvenir peut être très vif.

    Souvent je pense à lui, je pense à toi Chounet. Sous ma main, qui rangeait des photos, des dessins et autres j'ai trouvé cette image. Cette image c'est toi Chounet. Je ne t'oublierai jamais.