dimanche, septembre 18, 2011

Alger

I y a bien longtemps que je n'ai évoqué Alger... Alors quoi de mieux que de vous montrer ma ville à différentes époques.


Alger en 1947 par DzCaNaL



Algérie 1952 par DzCaNaL



Alger 1896. Vidéo rare ! par cristoumi

Et enfin une video précieuse, Alger en 1896 !!

Qu'en dites-vous ??

Je remercie mon amie Denise D. qui a fait ces trouvailles dont nous pouvons profiter grâce à elle.

mardi, avril 12, 2011

Avril


Bonjour Françoise,
Vous etes comme ce cerisier: sensible aux Avril, aux poussieres de
merveilleux et quelle importance qu' Istamboul ne soit plus
Constantinople? A moins de vouloir verrifier soi même que l'eau de
Suffren est toujours auusi bonne, et que, lorsqu'on les regarde d'en
haut, du Cap à la pointe, les lumieres du soir font maintenant un
collier autour du cou d'Alger?

Amitiés

mercredi, avril 06, 2011

Un jour d'Avril

Je sors de table il est deux heures, le 6 avril, le soleil est chaud comme en été.. j’étais sur la chaise devant le petit salon complètement investie par la chaleur et la lumière, yeux clos, et tout à coup pourquoi ? est apparue la silhouette de J., sur la falaise de Suffren. Tout le monde était sur le gravier, à deviser comme chaque jour de tout et de rien. Et j’étais moi, devant l’apparition de J, je ne pensais pas plus à lui qu’à autre personne et tout à coup il m’a envahie. Il est descendu, m’a tendu la main et m’a dit, : »Viens je t’emmène avec le 505 à La Pérouse.. » j’ai obtempéré, ne regardant pas autre que lui, me foutant bien de ce que tout les autres amassés pouvaient penser, et je l’ai suivi. Nous avons regagné le 505 je suis montée, nous sommes partis sous le vent, et j’ai commencé à ôter mon maillot.. c’était merveilleux.. il m’a tendu un bout et je me suis mise à l’eau, nue, accrochée à la corde adoucie par l’eau et j’ai laissé filé sur son conseil, quelques mètres. Je glissais derrière la barre, J. tenait bon et me regardait, il m’a tendu un masque pour que je puisse admirer les fonds, qui, depuis Suffren jusqu’à Jean-Bart sont une pure merveille. Il est quasi impossible de décrire le passage de l'eau sur la peau, et qui laisse deux longs sillages derrière soi il est impossible de faire ressentir la douceur, la caresse, la volupté de ces moments. En fait ce sont des moments secrets qui n'appartiennent qu'à ceux qui ont fait cette expérience.



Le petit port de Jean-Bart et Sandja...


Je me laissais aller, levant de temps à autre la tête pour le regarder et l’admirer; il est si beau. Les mètres défilaient vite, plus vite que l’on ne pense, et je devenais de plus en plus froide; l’eau m’envahissait et j’avais peine à regarder le fond tellement je me glaçais.. alors avec des gestes parlants je lui faisais comprendre que je n’en pouvais plus. Nous étions en vue de Sandja, le chameau de Jean-Bart.. il comprit que c’était trop pour moi, ralentit et me fit remonter. Il me prit dans ses bras, j’étais en une minute chaude comme il n’était pas possible, j’avais ma tête sur son épaule, ses bras m’entouraient et me caressaient, le temps s’arrêtait à ce moment où nous doublions Sandja pour aborder le Cap et arriver dans la baie de la Pérouse. Je ne pouvais me détacher de lui, c’était divin. Je viens de remonter devant mon Mac en me disant, : "ça je ne le retrouverais jamais" !!! mais "ça je l’ai vécu et c’est un énorme cadeau de la nature et de la vie".

Alors sagement je viens de poser sur le papier virtuel de Word, tout ce que j’ai ressenti pendant ces heures divines.. Merci. A qui ? merci à Dieu, merci à J., merci à moi qui ai su prendre ce que l’on m’offrait et sans que vienne à mon esprit la moindre pensée de faute, de tort. J’étais heureuse. Je le suis encore d’avoir vécu tout cela.

PS : Ce n'était pas un 505 mais simplement un 420...

lundi, février 14, 2011

La Saint Valentin

En classant des papiers, des dossiers, des photographies jaunies, tout ce que nous avons rapporté d'Alger - il y avait six générations de souvenirs - j'ai retrouvé une lettre. Je ne sais qui l'a écrite. La signature ne me laisse pas deviner quel en est l'auteur, et la date ne figure pas en son en-tête. Elle aurait pu être le 14 février!!! Mais au travers des lignes, serrées, si finement tracées à la plume et à l'encre violette on peut déceler un amour immense. Je vous laisse le plaisir de la lire, rendant hommage ainsi en ce jour de la Saint Valentin, à cet amour si bien exprimé.

"Il y a si longtemps que je ne t'ai écrit!!!

Si longtemps que je freine mes élans de tendresse, d'amour, mes gestes toujours un peu pareils mais que tu aimes je le crois, mes mots qui cherchent une réponse que je connais, une réponse muette et tendre que je sais être très belle et tellement profonde. Je t'admire de me porter tous ces sentiments si forts que tu as su créer et que j'ai acceptés en essayant de te rendre à mon tour et ta tendresse et ta gentillesse et ton amour qui me paraît être souvent un très très très ancien amour. Il me semble qu'il y a des siècles que nous nous sommes connus, aimés, compris, que nous nous sommes mutuellement entourés, enveloppés de cet amour dont nous avions l'un et l'autre un besoin immense, y trouvant cette chaleur bienfaisante qui nous manquait.

J'ai beau me dire être très forte, c'est toi qui est fort. C'est toi qui me rend forte. Et quand je te regarde dormir, quand je peux, sans te gêner du tout, te dire très doucement que je te trouve beau, que j'aime tes yeux, que je promène un doigt imaginaire sur tes lèvres, sur ton menton et dans la courbe de ton cou, je suis tout simplement heureuse. Rien de plus merveilleux que de t'entendre me dire lorsque j'ouvre les yeux après un bref repos derrière les volets demi-clos, pendant que tu travailles en face de moi : "Tu étais si jolie pendant que tu dormais..." Il n'y a qu'une seule personne qui peut dire cela à une autre: simplement parcequ'elle l'aime.

Je crois finalement que nous nous sommes aimés depuis toute éternité.

Ce soir, au bord de la nuit, dans mon lit qui est le nôtre, je retrouverais tes mains, tes doigts qui viennent prendre les miens pour qu'ils se croisent tendrement. Je saurais à ce moment même que tu es là, j'entendrais ton souffle régulier très près de moi, et je m'endormirais encore si heureuse. Toi, de ton côté, tu seras dans ton travail et tes pensées , ailleurs, très loin mais je sentirais très fort que c'est là ta manière de m'aimer. Je rêverais de nos deux visages l'un en face de l'autre ou simplement à côté l'un de l'autre, attentifs à notre tâche, échangeant des idées, des souvenirs et des rires. De temps à autre je viendrais poser mes lèvres au coin des tiennes parce que l'envie de toi sera plus forte que le travail et je retournerais bien vite à ma place de peur de te gêner.

Je t'aime."

samedi, février 12, 2011

Anniversaire.... de ma Belle Hélène


Coïncidence ? Hasard ? Normaiité ?

Hélène est née deux jours après moi enfin je veux dire dans le calendrier. Elle, le 12 février, moi le 10.. Sic !


C'était une surprise que d'avoir une petite fille, juste deux jours après son anniversaire. Mais il paraît que cela arrive souvent. Enfin je peux vous dire que j'étais fière vraiment. Je rêvais d'une fille et j'eus une fille. Quel bonheur. Il faut que toutes les mamans sachent que ce premier né, fille ou garçon, ce premier bébé est vraiment un cadeau du ciel. Pour le reste, tout suivrait, plus ou moins, mais c'est le premier né qui est un événement important dans la vie d'une femme. Il le fut pour moi. D'autant que le lendemain, j'apprenais que ma Maman, nous quittait, loin de nous, à Alger tandis que nous étions à Lisbonne.

Ne pas se révolter.

Accepter.

Tout cela est bien dur.

jeudi, février 10, 2011

Grand jour !

C'est un grand jour que le 10 février, aussi je ne veux pas le laisser passer sans venir vous dire :



J'ai prononcé ce petit discours pour mes amis de Face Book, mais il est aussi pour tous ceux qui regardent mon blog et sont intéressés par ce que j'y mets (peu généralement... mais j'espère bien)

Et hop une de plus une de moins.. !!!

vendredi, novembre 12, 2010

Sheep ! !

Je ne veux pas vous laisser sans avoir admiré cette VIDEO ! ! !


C'est stupéfiant, magnifique, étonnant et magique ! ! !


Rien à ajouter...No comment...

samedi, octobre 30, 2010

Le petit figuier...suite


Depuis un bon nombre d'années maintenant, je parle de mon petit figuier..Certes il est moins petit ou si vous préférez, il grandit. en âge, en sagesse, puisqu'il nous donne ombre et fraîcheur l'été et que cela peut me rappeler... un peu, le figuier de Suffren et son cortège de souvenirs.

Le petit figuier a revêtu sa robe d'automne.. dorée mais plutôt d'or jaune.. cela s'est passé d'un seul coup.. il va maintenant se changer, et ne nous montrer que ses branches nues et grises, qui peut-être supporteront un peu de neige cette année .

Pour le moment, la vigne vierge tout à côté, rougit de plaisir en le voyant..



C'est mon compagnon de route. Venu pour mon plaisir et un petit bonheur, dont j'ai reconnaissance à l'expéditeur qui s'est souvenu que je voulais tellement un figuier dans une cour...

Voyez comme il a bien changé !

jeudi, septembre 02, 2010

Tour de France

Le Tour est fini... il y eut un gagnant, le premier arrivé. Et avec lui tous ceux qui les années passées ont tenu le haut du podium . Je pense à Laurent Fignon, ce grand sportif, cette personalité si jeune, si sympathique, deux fois vainqueur et qui vient de mourir à cinquante ans, c'est à dire à la fleur de l'âge. Je partage avec tous ceux qui étaient proches de lui, sa famille, ses amis, ses supporters enfin tous sans en oublier un seul, je partage la peine et le chagrin qui sont les mots que nous prononçons dans de telles circonstances, du fond du cœur.

Alors me vient à l'idée, de lui offrir, avec un sourire, ce petit texte que j'avais écrit il y a quelques années et que mon arrêt récent à la station de l'autoroute, "Les Pyrénées" sur le trajet Toulouse Bayonne m'a remis en mémoire.

"Ange, tout de jaune vêtu, se tenait en équilibre sur son vélo, conçu spécialement pour lui par le plus grand des fabricant de cycles de course. Sa machine calée invisiblement, les pieds dans les étriers, il tenait ses bras levés au-dessus de sa tête en un "V" trop connu pour être ignoré.
Ses petites lunettes lui taraudait le visage et son casque qui, comme tous ses congénères le faisait ressembler immanquablement à un hanneton, entretenait sur ses cheveux, rares, mais blonds une douce chaleur et une humidité dont il pensait à raison qu'elle serait fatale à l'ordonnancement de sa coiffure dès qu'il l'enlèverait.
Il avait passé, en croix, autour de son torse – sorte de mémoire aux anciens - , deux chambres à air, courroies noires qui se détachaient avec précision sur le maillot canari du vainqueur.

La vacuité de ces longues minutes passées devant le créateur de la future image, lui laissait loisir de penser et de repenser encore. Il faisait lentement mais scrupuleusement la synthèse du dernier tour, et, devant tant d'efforts accumulés, ses bras qui fourmillaient, se rabattaient brusquement le long de la poitrine. Rappelé à l'ordre, il reprenait la pose et de nouveau laissait son esprit vagabonder. Se posant à lui même de nombreuses questions au sujet de tout et de rien, questions qui restaient d'ailleurs souvent sans réponses, il se demandait si l'objectif serait atteint et dans combien de temps.

L'admirable œuvre d'art à laquelle il contribuait en champion, mais avec beaucoup d'autres coureurs, devait orner un site choisi en bordure d'une autoroute et devant la chaîne des Pyrénées toute proche. Telle une video nature, il faisait défiler les kilomètres et les cols redoutables, témoins de crampes douloureuses qu'il ressentait encore sur le podium en teck de Birmanie, à l'arrivée de l'étape et ce malgré les fleurs et le sourire de la demoiselle locale qui l'embrassait après qu'il eût enfilé le maillot jaune.

Un accident l'avait empêché d'assister à l'inauguration du monument et loin du lieu il avait lu les journaux locaux, avec détachement mais conscient de sa victoire. Quelques temps après, allant sur la côte atlantique du côté de Biarritz pour une compétition de golf – oui il avait changé son fusil d'épaule ou si vous préférez, son pédalier contre un club – il s'arrêta à la station "Les Pyrénées" et put, entre le plein et un café, admirer enfin cette œuvre d'art qui voulait montrer à tous les passants, les géants du Tour de France.

Il comprit alors à cet instant précis, que c'était sa dernière course qui défilait là, devant ses yeux embués, avec les ondulations du parcours, ses co-équipiers, et lui-même, devant, caché légèrement par les arbres aux feuilles naissantes, tout en jaune et tournant résolument le dos aux Pyrénées enneigées dont il n'aurait plus jamais à souffrir en silence les cols diaboliques."


dimanche, août 08, 2010

Cent plus un...

Aujourd'hui, 8 août 2010 nous fêtons en famille (enfin, dispersée mais unie par la pensée) l'anniversaire de Nicole Cornuault, née Briès, sœur aînée de mon époux.



L'année dernière le petit village des Portes en Ré lui avait préparé une magnifique fête pour son siècle et à notre tour, nous venons rajouter une bougie à cette merveilleuse vie pourant heurtée maintes fois, mais que son caractère si bien trempé à mené à bien jusqu'ici.

Nicole pour vous, tous les baisers de tout le monde, toutes nos pensées, toute notre affection. Gardez vous ainsi pour notre bonheur.

samedi, août 07, 2010

Parfum d'été

Ce matin, me promenant autour de la maison, cherchant la figue... arrosant les feuillages des "monstera, des fougères, des bégonias, sous la vérandah, je suis passée devant le petit laurier rose, celui que j'ai fait déplacer sur l'angle du petit escalier et tout à coup, envahie de ce parfum que je connais si bien, je me suis vue à Suffren, sous les lauriers de la Villa Sergent, près du "Banc des aveux" - tout un programme qui avait bien des fois servi - Ce parfum me poursuivait c'était divin. Plonger dans le passé et Dieu seul sait combien j'aime plonger à tous les sens du verbe.

Je me sentais envahie d'un bien-être fabuleux qui me faisait tout oubier des ennuis et contrariétés qui peuvent arriver.

Internet nous apporte, les textes, les images, les sons..mais il ne nous apporte pas les parfums, les senteurs et leur cortège. Peut-être est-ce mieux ainsi, de pouvoir préserver cette intimité unique, de même que le goût - de la figue par exemple - ou simplement les choses que nous voulons garder secrètement pour nous ? A moins que se tende une main et qu'lle soit celle avec laquelle on a pu partager un tel moment de bonheur.

vendredi, août 06, 2010

Ainsi va l'été...

Le mois d'août est là avec son cortège d'un peu de chaud et surtout beaucoup de mistral qui vient atténuer le chaud qui, normalement, devrait nous clouer sur une chaise longue à l'ombre... du figuier. Heureusement il y a toujours notre vagabondage sur le Web et le rapprochement des amis.. vous savez ? les amis rencontrés plutôt tardivement mais devenus des amis plus que sûrs et si gentils.. j'en ai au moins trois : Denise, Tayeb et Christos qui en plus de mon ami peut se prévaloir du nom de "cousin".. il est Zygomalas.. il a trois filles ravissantes.. je vous laisse admirer Perséphone et Artémis...


Malgré tout, on critique FaceBook mais c'est quand même un artifice magnifique pour se retrouver brusquement dans un milieu que l'on n'aurait pu imaginer il y a seulement dix ans ! et encore..

Christos est musicien, sculpteur et maintenant il peint et ses images sont superbes :
Et puis je ne peux pas non plus ne pas parler de mon ami, grand ami, Tayeb.. Tayeb connaît l'Algérie autant que moi et plus encore, il connaît le Djurdjura dans lequel nous avons tellement patouillé et visité les moindres recoins, Lui, c'est "son pays" il y est né ! moi aussi d'ailleurs et c'est pourquoi nous pouvons partager le Djurdjura.. Chez lui il y a des figuiers, et vous savez combien le figuier, depuis Alger jusqu'à Chios, joue un rôle important dans ma vie.. Et les figuiers de Tayeb donnent des figues les meilleures du monde !



C'est cette FIGUE, dont je me souviens qu'elle se situait tout en haut du figuier de la cour, à Suffren et dans lequel, avec un tablier (pour ne pas me salir), quand j'avais sept ou huit ans - j'ai oublié - , je grimpais de branche en branche pour aller chercher "la figue", celle d'en haut, la meilleure, sans que personne ne me dérange. Et Tayeb de me dire à ce sujet :

"Justement, je me demande pouquoi le figuier porte ses meilleures figues le plus haut ? Est-il conscient de quelque chose comme "plus dure l'épreuve...?"

Décidémment le figuier n'a pas fini d'être sujet de discussions et de palabres...






mardi, juin 22, 2010

L'apothéose d'un vilain bouton.

Dans ma serre, à la Grange du Tambour, près d'Avignon, il y a des cactus. Ou si vous préférez, des succulentes.. Le mot est savant mais il me plait.

C'est l'époque de la floraison des cactus.. et ce matin en faisant le tour de la maison je me suis arrêtée dans la serre, et vu la fleur.. La fleur.. les fleurs du cactus, ouvertes et roses, offrant à ma vue, une image certes que je connais mais qui m'éblouit toujours et m'éblouira toujours encore..




dimanche, février 21, 2010

Le temps passe trop vite

Nous n'avons plus assez de temps pour faire tout ce que nous voulons.. il faut choisir. Et le choix est vaste. Mais pour les "mordus" d'ordinateurs, Mac ou autres mais plutôt Mac.. nous avons toujours - et le mot est faible- à faire. Et c'est là justement que nous sommes priviligiés. Quel bonheur de pouoir chaque matin, lire son courrier, y répondre, parfois faire une page de son journal, parfois faire des comptes - beuh - et parfois jacasser avec l'amie surgie d'on ne sait où sur Skype et en plus on la voit ! On sait tout de suite si elle va bien, si on l'ennuie si on lui fait plaisir.. un vrai bonheur.. et on peut toujours lui raccrocher au nez.

Vous dire aussi qu'avec les fanatiques de Face Book, il y a fort à faire. J'avoue laisser un peu de côté. Mais c'est sympathique je le reconnais.

Nous avons eu très très froid cette année, ce fut un véritable hiver, et comme je parle souvent de mon petit figuier, je vous laisse admirer le spectacle que j'ai eu un matin en ouvrant ma fenêtre.. le petit figuier ! oui mais couvert de neige au lieu de figues.. ça change


Et pour vous donner une vue d'ensemble de notre pelouse si verte l'été... la voici en février !

lundi, janvier 04, 2010

Année Nouvelle M M X

Inexorablement, elle est arrivée.. avec son cortège de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Pensons aussi à ceux, qui n'ont pas de lumières, de musiques, de joies, de sourires et de bonheur...
Le souhait que je formule... Ecoutez moi, j'ai fait ceci pour vous tous, ceux que j'aime et qui m'aiment.


samedi, avril 11, 2009

Addict ?

On peut très bien devenir accroché, mais on dit plutôt maintenant "addict" c'est tendance. Cela ne date pas d'hier. Tenez, il y a plus de 23 ans que je suis tombée dans un Mac.. et j'y suis toujours. Pas dans le même évidemment.
Mais on peut aussi être fan de musique, fan d'images.. photos dessins, se servir d'Adobe, se servir de pinceaux de crayons, de feutres, être béat devant un coucher de soleil dans le Sahara, devant une mer démontée..On peut aussi se plonger dans la généalogie et créer une gigantesque base de données dont on sort à grand peine.

C'est en fait ce que l'on appelle "la passion"..

Je vous avais parlé et montré il y a quelques temps ce que l'on peut faire avec de la musique et des mathématiques.. Allez voir le début de cette année. Vous vous apercevrez que, ma foi, c'est presque la même chose que ce que vous voyez là, maintenant. Et de vous dire in petto :" elle exagère elle nous réédite les mêmes choses".
Mais en fait, tout est différent. Tout. La musique, les couleurs, les sons, les courbes, les dessins.
N'essayez pas d'anticiper pour savoir quelle courbe viendra après celle que vous voyez non ! elle sera différente, elle vous transportera vers d'autres lieux d'autres cieux que ceux auxquels vous pensiez. Alors laissez vous aller jusqu'au bout. Reprenez votre souffle et remerciez l'auteur de cette nouvelle forme d'art que, pour le moment l'on ne peut nommer. Mais il faut malgré tout donner un nom à cette fractale puisque cela en est une : "Le bonheur de ma fille".

lundi, janvier 12, 2009

Bien commencer l'année

Suivre un exemple d'amour, de tendresse d'affection..
  • Regardez
  • Admirez
  • Fondez de douceur




    Et dites moi si vous avez aimé cette video ! C'est à la fois étrange, admirable et réconfortant.
  • mardi, janvier 06, 2009

    Nouvelle année

    Elles se suivent... l'une emboîte le pas sur l'autre... et ce, depuis la nuit des temps.
    Alors pour fêter cette année nouvelle laissez vous emporter par cette musique, par ces images. Tout vous transportera vers le point où vous voulez aller.. C'est magique.


    Alors je vous dis à tous Bonne Année Que mes souhaits vous parviennent jusqu'au fond du cœur.

    Vous avez dit ?

    Fractales ?

    vendredi, juin 13, 2008

    Oui.... il passe... le temps !

    cliquer sur l'image pour le voir en GRAND!!!

    Depuis l'année dernière, Monsieur le Petit Figuier a pris de l'ampleur. J'en suis toute étonnée et ravie. Il est maintenant un arbre complet. Son tronc s'est épaissi, ses feuilles sont plus nombreuses, et il a grandi. Il est ravi, il a ses pieds dans le puit ou presque. Ainsi, j'avais rêvé d'une maison avec un figuier au milieu d'une cour, un peu comme à Suffren au fond mais je m'étais contentée dans les premiers temps de notre installation dans le Midi, de ce tilleul imposant et presque centenaire. En cliquant sur "Suffren" vous verrez le figuier, une aquarelle de Gabriel Darbéda, mon grand-père.
    Il était d'ailleurs fort beau et j'eus une grande peine lorsqu'il refusa de sortir ses nouvelles feuilles un printemps et qu'il fallut le faire disparaître. Je n'étais pas encore consciente de ce qui allait se passer dans les quatre années qui suivirent. Oui je vous ai déjà raconté qu'il y avait un tout petit figuier au pied du tilleul avec trois feuilles et tout malingre. On lui laissa la vie sauve. et et et... vous pouvez voir au cours des années combien il s'appliquait à devenir un bel arbre. Cette année je lui rends hommage. C'est Le Figuier de la Cour. Non son tronc n'est pas encore celui de son confrère de Suffren, mais ... il en prend le chemin et qui sait...si Dieu lui prête vie il deviendra comme lui. Et puis maintenant, je peux, allongée dans le transat vert pomme, rêver : à l'Ombre du Figuier


    lundi, mars 17, 2008

    Le temps qui passe


    Le temps qui passe vient sans arrêt vous prévenir qu'il faut vivre intensément les moments qui se déroulent, les jours qui filent, les heures qui s'estompent, les minutes qui foncent et les secondes qui ne vous laissent aucun répit. Ainsi je n'ai rien écrit depuis janvier, sur ces pages qui pourtant pourraient refléter mes états d'âme ou mes découvertes ou que sais-je encore. Mais je n'y tiens plus, car c'est un événement trop important qui est venu rompre le temps qui passe pour me faire prendre encore davantage conscience qu'il faut continuer son chemin, tracé ou non mais il faut continuer. Et pourtant je suis si peinée que je devrais m'effondrer de chagrin et pleurer à en mourir.
    Hercule. Hercule, a rejoint Cécile pour toujours, il l'a retrouvée et ensemble ils font mille et une balades dans les chemins d'amour que nous leur avons tracé auparavant. Il est parti sans bruit, tout doucement en s'endormant et je l'espère sans souffrir, petit animal animé d'une âme et d'un regard intense qui aurait voulu me dire quelque chose. Petit animal affectueux et oh combien attaché et à qui nous avons donné une vie de chien la plus belle possible. Courir dans les bois, jouer, dormir au chaud ou au soleil dans la cour, bien manger et boire l'eau frâiche du puit, c'était tout un programme de bonheur. Je souhaite qu'il en ait profité pleinement, hélas, sans Cécile mais je reste persuadée qu'il est maintenant avec elle pour leur bonheur à eux seuls.